Ce passage est très précis, voilà un nouveau bouquin ajouté à ma liste de lecture !
Cette stratégie d’absorption puis « d’anesthésie » du combat est une stratégie pratiquée de longue date par les industriels envers les mouvements écologistes. « On s’efforçait de promouvoir des modes d’action domestiqués susceptibles de satisfaire le désir d’agir qui se faisait jour tout en le réorientant dans une direction non-antagonique, compatible avec les intérêts des industriels plutôt qu’en conflit avec eux » écrit le philosophe Grégoire Chamayou en 2018 dans son livre La Société Ingouvernable.
Putain, enfin un article de QUALITAY. Et merci ceux qui vendent leur cul aux corpos LOL
Sans déconner on est un monde de veaux, ca se compte sur les doigts de la main les articles lucides sur ce film. Et le phénomène plus généralement. C’est pas pour rien que les médias mainstream sont de plus en plus décriés .
Je savais que ça te plairait ha ha
Bah ouais ! Au bout dun moment tu deviens fous
Je commence à comprendre les gens qui veulent tout cramer. C’est de l’aliénation pure à ce stade.
Je les comprend très très fort. Franchement, perso je sens que je commence à virer.
Il faut que je parte me mettre au vert.
Il n’y a rien qui va. Rien pour donner une lueur d’espoirs bordel de queue.
Certains voulaient une vraie tribune radicale, je pense qu’on l’a trouvée
Notjohnny Cash est aussi critique si on écoute la fin. J’attends Randy Marsh mais pour l’instant l’artiste plus connu sous le sobriquet de Lorde n’a pas souhaité commenter l’affaire.
Ha ha ha, pas mal tiens
L’article me fait penser à un autre fil je ne sais plus où, avec un gars qui posait cette réflexion : “Dans ce monde où l’on doit changer nos modes de vie, je suis surpris de la prépondérance des jouets voitures.”
C’est une réflexion intéressante. Les quelques réponses étaient plutôt contre son avis.
C’est la nouvelle méthode marketing, une critique hypocrite et nuancée, qui dilue la critique pour l’annuler.
En fait ils ont compris qu’ils ne peuvent plus faire des promotions bêtes et inaudibles, alors ils saupoudrent d’un zeste d’autocritique, pour feindre l’humilité.
On dirait des méthodes directement empruntées au greenwashing: on blanchit, on rosit, on verdit.
Les consommateurs sont inquiets? Hop hop, on les écoute mais on change rien.