Impensables il y a encore quelques années, les gros camions à batteries ont gagné la bataille technologique contre l’hydrogène. Ils sortent des chaînes des constructeurs. Reste à résoudre l’équation du prix et le casse-tête des infrastructures.
Il faut voir que aujourd’hui on aurait pas besoin d’un contact permanent: ce serait une forme de recharge de batterie pendant qu’on roule. Si c’est interrompu quelques kilomètres, c’est pas grave.
Un rail creux, qu’on peut enjamber sans problème, c’est quand même vachement mieux qu’un rail à 20kV. Un rail peut avoir deux lignes, une à 20kv, une à zéro.
L’induction est alternative, n’a pas besoin de circuit fermé.
Il faut voir que aujourd’hui on aurait pas besoin d’un contact permanent: ce serait une forme de recharge de batterie pendant qu’on roule. Si c’est interrompu quelques kilomètres, c’est pas grave.
L’induction, si, ça transmet de la puissance, assez pour recharger des véhicules.
Un rail creux, qu’on peut enjamber sans problème, c’est quand même vachement mieux qu’un rail à 20kV. Un rail peut avoir deux lignes, une à 20kv, une à zéro.
L’induction est alternative, n’a pas besoin de circuit fermé.