• peotr26@sh.itjust.works
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    4 days ago

    Bah si, il la fait pendant une semaine. Puis c’est ridicule de croire qu’il fait perdre beaucoup de voix. On a plus a gagné à le faire participer qu’à le mettre de côté, je crois que vous oubliez sa popularité auprès d’une grande majorité de la population. D’ailleurs, Hollande fait plus de mal à parler car il est détesté de beaucoup plus de monde.

    • BestBouclettes@jlai.lu
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      4 days ago

      Pour moi, Mélenchon a fait un travail remarquable pour la gauche et je le respecte pour ça et certaines de ses idées. Le souci c’est qu’il a un égo surdimensionné, au sein de la LFI c’est lui le patron et point barre (pas de démocratie au sein de LFI). Il est hyper polarisant comme mec et à chaque fois qu’il l’ouvre, les opposants lui sautent à la gorge (à tort ou à raison).

      On a un énorme mouvement de gauche qui a ses chances de faire quelque chose d’historique, et c’est pas le moment d’avoir un personnage comme lui sur le devant de la scène, surtout avec la propagande d’extrême droite qu’on bouffe et les enjeux actuels. C’est du pain béni pour décrédibiliser le mouvement.

      • Ysysel@jlai.lu
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        4 days ago

        A sa décharge on s’est rendu compte que s’il ne l’ouvre pas et se fait discret les opposants lui sautent à la gorge aussi.

        • Professeur Falken@jlai.lu
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          2 days ago

          A sa décharge on s’est rendu compte que s’il ne l’ouvre pas et se fait discret les opposants lui sautent à la gorge aussi.

          JLM 1PB

      • peotr26@sh.itjust.works
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        4 days ago

        Justement pour moi, c’est cette vision qui nous mènera à l’échec. La politique est par nature clivante, le refuser, c’est accepter le statuquo. Le fait que les médias détestent Mélenchon me rassure, car cela veut dire que la bourgeoisie a peur, qu’elle a peur de lui. Je serais Ruffin ou Roussel, je me questionnerai à partir du moment où les médias mainstream commencent à parler positivement de moi. C’est normal que tes opposants se jettent sur toi, tu es leur opposant. La politique est violente et conflictuelle, il est impossible d’y échappé.

        À son époque, Blum été clivant, et pourtant ça ne la a pas empêchés de gagner la bataille électorale alors qu’il s’était allié avec encore plus clivant que lui, le PCF. Blum et le PCF subissait la même violence médiatique que la FI et Mélenchon subisse maintenant, voir encore plus puissante, et pourtant ils ont gagné.